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L'évènement 2013 c'était bien sûr les 5 ans de Comic Con ! Et pour ses 5 bougies, Comic Con a mis le paquet !!!
Pour rappel (si vous ne connaissez pas, ce qui serait étonnant, mais on ne sait jamais ^^ ) Japan Expo et Comic Con sont collés et les billets d'accès sont communs aux deux festivals.
JE représente la partie asiatique avec tout ce qui est manga/ japanimation/asian music/ culture et tradition/ arts martiaux, tandis que CC s'intéresse aux univers geek avec comics américains/ jeux vidéo/ sci-fi et fantasy/webséries/ séries et films américains/doublage français. Un ensemble bien complet, qui permet à tout un chacun de trouver des points d'intérêt quels que soient ses goûts !
Au niveau de l'affluence, Japan Expo 14ème impact + Comic Con 5ème anniversaire ont totalisé plus de 232 876 visiteurs uniques (un visiteur 4 jours ne comptent ici qu'une seule fois), soit une augmentation réelle d'environ 12% par rapport à l'année dernière. Le tout sur un espace total de plus de 120 000m² !
Si le jeudi était beaucoup plus remplit que les autres années, le samedi a été nettement plus calme à la plus grande surprise des habitués. L'effet ''masse de gens collés comme du chewing-gum'' aura ainsi été évité, ce qui a été un grand soulagement pour les pieds ! Le vendredi et le dimanche étaient un peu plus fréquentés, mais sans réel changement par rapport aux éditions précédentes.
Comme d'habitude, du bon comme du moins bon côté organisation.
Commençons par le pire avec les différentes scènes.
Malgré les remarques des années précédentes, la JE Live House conserve toujours un son plus que déplorable qui massacre tous les concerts qui s'y déroulent. C'est à un tel point que la saturation dans les amplis s'entend jusque sur la scène principale située juste à côté, même lorsqu'une animation fait déjà du bruit sur celle-ci. La JE Live House reste donc une poubelle sonore, ce qui est vraiment déplorable vu le nombre d'invités Asian Music venus s'y produire. Du respect pour les artistes comme pour les oreilles des fans serait la moindre des choses et c'est facile : il suffit de changer l'ingénieur du son.
La scène principale ne fait pas beaucoup mieux. Si le son est meilleur, l'abruti monumental des dernières années, incapable de gérer la lumière, est toujours à son poste. L'évènement commence systématiquement dans le noir pendant plusieurs minutes : on ne voit rien, impossible de prendre des photos, même les invités galèrent sur scène. Comme d'habitude cet incompétent de technicien a réalisé son effet préféré : cramer la rétine des spectateurs. Le principe : prendre les gros spot surpuissant de la scène et... les orienter en plein vers le public, effectuer des balayages et même les faire clignoter par surprise en pleine tête de toute l'assemblée qui devient alors aveugle pendant de nombreuses secondes ! Ca gêne tout le monde : des personnes sur scène, jusqu'au spectateur traditionnel, en passant par la presse qui ne peut plus ni filmer ni photographier quel que soit la qualité du matériel. C'est original de vouloir gâcher la vie de tout le monde en une seule fois mais il serait temps que ça s'arrête !!!
A noter tout de même : un peu moins d'erreur de lancement des vidéos et des logos (le niveau reste tout de même inadmissible dans un tel festival) et quelques écrans lumineux assez bien utilisés pour créer des effets à l'arrière de la scène. En revanche, les débugs Windows et mauvais lancements de logiciels apparaissaient toujours à l'écran, tels la marque de fabrique de l'incompétence risible des techniciens.
L'apparition de la scène Japan Expo dans un hall supplémentaire semblait bien sympathique, mais on sent ici quelque chose ajouté à la va-vite. Pas de rideau ni de mur pour isoler la scène, qui se retrouve donc en pleine lumière. Du coup, malgré un son assez bon et un écran de bonne taille, cela gâche la visibilité. A revoir l'année prochaine en espérant que cette scène n'est pas un « bouche-trou » mais va être amenée à être réellement fonctionnelle !
Par contre des horreurs restent encore à combattre, notamment au niveau du personnel.
On retrouve encore des vigiles en sous-nombres, peu sympathiques (mais qui restent maintenant polis, ce qui est déjà pas mal) et qui cette année ont choisis de se servir en goodies... directement dans les stands en fin de convention... quand on est chargé de surveiller un espace qui commence à être rangé par son staff, le but n'est pas de commencer à vider cet espace soi-même messieurs les vigiles !
Par rapport à ce sous-effectif de sécurité, les règles sur les armes ont, encore une fois, été peu ou pas appliquées. Quasi aucun blocage réalisé au niveau des sabres/ katana /boken au niveau de l'entrée. Aucun contrôle des répliques d'armes militaires. Encore et toujours des sabres déballés dans les allées, juste après leur achat. On remarquera tout de même le contrôle des stands de vente de katana : en plus d'être répertoriés officiellement, ils étaient obligés d'apposer sur leur produit un avertissement de non-utilisation et de les fournir dans leur emballage complètement fermé. Heureusement, l'annonce d'expulsion pour les traditionnels andouilles qui se battent au milieu des allées bondées aura suffi à les calmer. Plus de combats intempestifs ni de gros risques rencontrés. Le visiteur standard peut enfin se déplacer tranquille, sans peur de se prendre quelques points de suture au détour d'une allée. Espérons que l'organisation continuera ces avertissements dissuasifs et que les traditionnels abrutis continueront également à réfléchir un minimum car tout le monde a été gagnant. En tout cas, vive la politique de ''l'autocollant qui fait peur'' : rapide et fonctionnelle !
Au niveau du staff, il y a toujours du « pile ou face » alors que l'image de la convention est fortement en jeu. Si certaines personnes sont adorables, souriantes et débordantes de sympathie (comme les personnes au contrôle des entrées et des files billets/préventes - ♪♫♪"Avec tickeeeet et sans tickeeeet"♪♫♪ - ou au sondage) certains individus semblent avoir été recrutés par erreur, ou alors dans le but de pourrir exprès la convention. En plus de hurler sur les fans, ou d'insulter certains visiteurs, certains staff ont même été jusqu'à vociférer sur les invités. Mention spéciale pour une certaine « Caroline » qui a carrément insulté des invités doubleurs de South Park, devant l'assemblée de leurs fans à la fin de la séance de dédicace ! Et plusieurs fois en plus histoire d'en remettre une couche ! Avis aux recruteurs : ouvrez les yeux et les oreilles pendant les entretiens car ce type d'erreur de casting est juste inadmissible !
J'en profite pour signaler une autre immondice : les poussettes ! Sérieusement, comment un parent peut-il amener un enfant en bas âge dans une telle foule, écraser les pieds des personnes présentes et risquer à l'enfant de se faire écraser ? Si la poussette bouscule quelqu'un qui perd l'équilibre, le gamin se retrouvera écrabouillé sous le geek/otaku déséquilibré. Et certain sont balèzes, avec un poids de muscles en conséquence ! C'est totalement infonctionnel et désagréable, en plus d'être illogique. Espérons que les poussettes seront interdites, ce qui permettra de fluidifier encore la foule, tout en évitant certains incidents. Les petits enfants pourront toujours assister à la convention, mais en sécurité dans les bras de leurs parents qui préserveront du même coup bien des orteils.
Enfin, il faut soulever le point sensible des dédicaces. Si le système permet aux plus motivés d'en bénéficier avec « premier arrivé, premier servi », tout en donnant aux arrivés plus tardifs une chance avec le « tirage au sort », il faut avouer que les billets premiums restent fortement privilégiés. Jusque-là rien de grave, puisque ces billets paient plus chers pour bénéficier de cet avantage prévu.
Par contre, le côté nominatif est très agaçant. En plus de faire perdre énormément de temps, cela empêche toute la cohésion entre fans que l'on pouvait rencontrer avant. L'année dernière, quelqu'un qui avait deux dédicaces quasi en même temps, mais avait eu la chance de gagner les deux avant de s'apercevoir que ce n'était pas possible de se dédoubler, pouvait donner un pass à un autre fan très facilement. Maintenant cela est impossible et le Bon Dédicace est juste bêtement perdu.
Sans compter les bons avec photos extrêmement chronophages et la vérification d'identité qui frôle le contrôle policier agressif. Cela enlève une part de la magie de la rencontre avec les invités, encombre le staff dédicace inutilement et fait un perdre un temps infini à tout le monde. Cela juste dans le but d'empêcher la revente de bons qui, en plus d'être rare, n'enlève rien à la convention qui gagne toujours autant d'argent...
Heureusement que le staff à ce niveau était sympa et patient, sinon cela aurait vraiment pu mal se passer. Je serais en tout cas curieuse de savoir, avec tout ce temps perdu cumulé, combien de fois on aurait pu voir la trilogie Matrix en boucle... Bref, à revoir pour l'année prochaine.
Heureusement, malgré la grosse épine des scènes, dues à l'incompétence des techniciens qui ricanent entre amis au lieu de faire leur boulot, ou à certains staffs déplorables, le côté vraiment négatif reste réduit.
Une bonne anecdote pour la transition : la Buffy Reunion ! L'initiative de départ était bonne : faire venir des acteurs et prévoir des activités spécialisées à destinations des purs fans.
L'exécution a par contre été risible : faire payer en plus des tickets hors de prix (le principe a d'ailleurs dû être modifié au dernier moment car l'entrée dans la convention n'était même pas comprise dans le ticket au départ...) pour rencontrer des acteurs de second plan dans des activités banales telles que questions/réponses. Les dédicaces et photoshoot non-compris dans ces tickets spéciaux devant être payés en plus... Je ne sais pas comment cette tentative de vider le portefeuille des fans de vampires, au lieu de leurs veines, s'est déroulée mais le seul résumé moderne que l'on peut faire de cette Buffy Reunion est LOL !!!
Nous arrivons ainsi joyeusement au positif, qui marque heureusement une bonne évolution de la gestion de la convention.
La scène Comic Con par exemple, est très bien gérée. Il en va de même pour la petite scène jeux vidéo, qui présentait l'originalité de voir son contenu complet retransmis en streaming en France et au Japon.
Encore une fois, les files d'attentes ont été très bien gérées. Il suffisait d'arriver un petit peu après l'ouverture de la convention pour entrer de façon fluide et agréable.
De même à l'intérieur, les grandes allées servant d'axes principaux ont été conservées. Passer d'un festival à un autre, ou tout traverser d'un coup, est donc resté pratique quelle que soit l'heure et l'affluence. Bonus de cette année : les espaces extérieurs supplémentaires qui, en plus de permettre de s'aérer, permettaient de prendre des raccourcis entre les différents hall.
La disposition de Japan Expo reste claire et facile d'accès. Les éditeurs, fanzines et arts martiaux sont positionnés de façon logique et accessible, rien à redire ! Côté Comic Con, les stands amateurs ont été repositionnés d'une excellente façon. Le pôle jeux vidéo permet maintenant des déplacements faciles et les différents espaces de jeux s'imbriquent parfaitement entre eux. Seuls quelques stands « volent » encore au milieu de l'espace et l'on peut regretter que les espaces de décors Sci-fi soient un peu excentrés, mais en contrepartie le village web et les espaces des webséries ont été optimisés.
La transition entre JE et CC a bénéficié d'allées plus large et de stands permettant de marquer le changement d'une thématique à l'autre. En plus de permettre une circulation fluide, cela a renforcé l'ambiance de chaque partie du festival en leur donnant une continuité.
Les excellents points de 2012 ont été conservés et un gros effort a été fait pour résorber les quelques soucis d'espaces restant à Comic Con. Encore quelques petits efforts et la disposition de tout le festival deviendra optimale !
Pour dépanner les nouveaux visiteurs, du staff spécial transportant un grand drapeau « information » dans le dos se déplaçait partout dans la convention. Il était donc facile de demander son chemin, le programme ou une activité à tout moment.
Plans et programmes étaient présents en masse à l'entrée du festival et se trouvaient facilement. Seul soucis : si Comic Con regroupait les 4 jours sur le programme et permettait donc de s'organiser facilement, il fallait retrouver chaque jour le programme pour Japan Expo. Il suffirait d'avoir un plan recto/verso avec JE/CC et un programme tout cumulé, avec toutes les scènes et zones d'activités, ce qui permettrait d'avoir une meilleure vision de la journée et de ne pas jongler avec 36 feuilles. Cela permettrait également une économie de papier puisque l'on pourrait prendre ce programme une seule fois au lieu de 4, ainsi qu'une économie d'impression puisque un seul document serait à éditer. Les plus fervents otakus ressembleraient alors moins à des Origami géants, ce qui serait plus pratique !

Pas mal d'expositions étaient présentes : Tetsuo Hara, Gravure Idol, XIII... concises et visuelles, tout en permettant une bonne circulation du public.
On notera le Raoh géant sur son cheval ainsi que tous les tomes de Ken en lecture libre sur l'espace Tetsuo Hara. Le clou du spectacle, sans lien direct avec la grandiloquence des illustrations exposées, restait tout de même l'énorme trou du c** de la statue du cheval, parfaitement visible lorsqu'on en faisait le tour ! Comme quoi, même un guerrier suprême ultra-puissant peut faire énormément rire !
Grand regret cependant : la pauvreté extrême de ces espaces. Quelques panneaux rapides, quelques illustrations et maximum une ou deux vitrines minuscules et c'était tout ! On pouvait donc parcourir les expos rapidement et sans bouchon, mais sans apprendre grand-chose au vu du peu de matière. Dommage car ces espaces ont vite été délaissés par les visiteurs, du fait de leur peu de valeur ajoutées. A revoir car quelques panneaux synthétiques suspendus ici et là ne représentent pas une « exposition » mais une vue rapide peu intéressante d'un sujet. Même les petites tenues de Gravure Idol, peu nombreuses, n'ont pas retenu longtemps leur public : c'est dire !
Les stands étaient toujours au rendez-vous. J'en profite pour saluer les performances des fanzines et des jeunes créateurs, qui se démènent chaque année pour nous présenter leurs plus belles créations !
Les éditeurs avaient mis en avant différentes activités mais dans une proportion extrêmement réduite par rapport à 2012 (article spécifique à suivre).
Quelques marques ont été très remarquées, comme Good Smile Company qui présentait certaines figurines en exclusivité salon ! Il faut dire que Miku et Madoka version Maïko étaient vraiment très craquantes ! Il était même possible de rencontrer des membres de l'équipe de production et d'acheter certains produits directement sur le stand. GSC a donc effectué une présence parfaite, avec le plaisir de rencontrer l'équipe en plus de pouvoir acquérir, à prix raisonnable, des figurines de qualité complètement officielles.
Ankama a dédié un immense espace, ressemblant à un village, à ses fans. En bonus, une zone « Le Visiteur du Futur » permettait de découvrir quelques costumes et décors de la websérie dans une ambiance adaptée.
Nintendo proposait le plus de démos jouables et de consoles en libre accès.
Côté Comic Con, quelques échoppes de costumes et accessoires médiévaux côtoyaient des tables pleines de jeux vidéo neuf ou d'occasions, des stands de t-shirt et de maquettes Gundam. Des espaces d'achat dédiés aux webséries (Noob, Hero Corp...) ou à des films/séries cultes (Harry Potter, Doctor Who...) étaient dénichables au coin des allées.
Non-commercial, mais remarqués de tous, l'espace lecture et l'espace Geek-dating auront permis des moments de détente et des heureuses rencontres.

On notera le Raoh géant sur son cheval ainsi que tous les tomes de Ken en lecture libre sur l'espace Tetsuo Hara. Le clou du spectacle, sans lien direct avec la grandiloquence des illustrations exposées, restait tout de même l'énorme trou du c** de la statue du cheval, parfaitement visible lorsqu'on en faisait le tour ! Comme quoi, même un guerrier suprême ultra-puissant peut faire énormément rire !
Grand regret cependant : la pauvreté extrême de ces espaces. Quelques panneaux rapides, quelques illustrations et maximum une ou deux vitrines minuscules et c'était tout ! On pouvait donc parcourir les expos rapidement et sans bouchon, mais sans apprendre grand-chose au vu du peu de matière. Dommage car ces espaces ont vite été délaissés par les visiteurs, du fait de leur peu de valeur ajoutées. A revoir car quelques panneaux synthétiques suspendus ici et là ne représentent pas une « exposition » mais une vue rapide peu intéressante d'un sujet. Même les petites tenues de Gravure Idol, peu nombreuses, n'ont pas retenu longtemps leur public : c'est dire !
Les stands étaient toujours au rendez-vous. J'en profite pour saluer les performances des fanzines et des jeunes créateurs, qui se démènent chaque année pour nous présenter leurs plus belles créations !
Les éditeurs avaient mis en avant différentes activités mais dans une proportion extrêmement réduite par rapport à 2012 (article spécifique à suivre).
Quelques marques ont été très remarquées, comme Good Smile Company qui présentait certaines figurines en exclusivité salon ! Il faut dire que Miku et Madoka version Maïko étaient vraiment très craquantes ! Il était même possible de rencontrer des membres de l'équipe de production et d'acheter certains produits directement sur le stand. GSC a donc effectué une présence parfaite, avec le plaisir de rencontrer l'équipe en plus de pouvoir acquérir, à prix raisonnable, des figurines de qualité complètement officielles.
Ankama a dédié un immense espace, ressemblant à un village, à ses fans. En bonus, une zone « Le Visiteur du Futur » permettait de découvrir quelques costumes et décors de la websérie dans une ambiance adaptée.
Nintendo proposait le plus de démos jouables et de consoles en libre accès.
Côté Comic Con, quelques échoppes de costumes et accessoires médiévaux côtoyaient des tables pleines de jeux vidéo neuf ou d'occasions, des stands de t-shirt et de maquettes Gundam. Des espaces d'achat dédiés aux webséries (Noob, Hero Corp...) ou à des films/séries cultes (Harry Potter, Doctor Who...) étaient dénichables au coin des allées.
Non-commercial, mais remarqués de tous, l'espace lecture et l'espace Geek-dating auront permis des moments de détente et des heureuses rencontres.

Côté Japan Expo, tous les types de goodies étaient au rendez-vous dans une gamme de qualité très variable. Dommage que cette année la quasi-totalité des stands, souvent en provenance de l'étranger, n'ai proposé que des contrefaçons hideuses à des prix supérieur au prix officiel (par exemple : Ultimate Madoka officielle chez GSC-présent sur le salon- à 140¤ contre une horreur mal moulée à 220¤ sur un stand) ! Le seul éventuel intérêt d'une contrefaçon résidant dans son prix, il est facile de comprendre pourquoi ces stands ont moins vendus que d'habitude...
Quelques stands japonais étaient présents, surtout orientés vers des objets traditionnels. Beaucoup de points alimentations s'étaient regroupés le long de quelques allées, avec de tout mais à des prix assez élevés, ce qui est tout de même logique dans un tel salon (enfin une boîte de mochi est quand même montée jusqu'à 7¤ contre 1,20¤ dans un magasin asiatique). Dommage que les stands ''de base'' aient été aussi peu variés (beaucoup de One Piece entre autres) et avec une qualité aussi minable pour des prix aussi élevés qui ont à peine baissés dimanche, cela aura certainement beaucoup freiné les acheteurs !
A noter le petit gag du stand de produits de la Mer Morte totalement hors-sujet, qui n'avait rien compris à la choucroute et a fermé dès les premiers jours...
Le cosplay était là aussi bien sûr ! Cette fois-ci, nettement moins de monde en cosplay libre dans les allées. Cela permet une meilleure circulation de la foule mais enlève un peu d'ambiance, ce qui est fortement dommage. Les concours sont toujours aussi mal présentés, avec seulement « vous êtes là JE ? » et « faites du bruit » qui sort de la bouche du présentateur. Et je ne parlerais même pas de la version anglaise pour l'ECG (oui logiquement, ce devait être de l'anglais ces sons bizarres...). Bref c'est dommage car ça donne seulement envie de sortir de la salle pour voir autre chose, ce que nous avons fait d'ailleurs...
Assez déçue également par le World Cosplay Summit. Normalement les costumes sont à tomber et là... c'est la qualité qui est tombée : perte de morceaux de cosplays, décors qui s'effondrent, prestations qui semblent répétées à la dernière minute. Le manque de préparation était clair pour la plupart des participants et c'est vraiment dommage, surtout quand on a en tête le niveau formidable des années passées. D'accord on rigole parfois tellement c'est ridicule, mais pour un concours de ce niveau, ce n'est pas le but recherché. Victoire méritée en tout cas pour le groupe Madoka dont la prestation formait une vraie petite histoire très bien menée !
Les décors de films Comic Con étaient au rendez-vous. Jabba le Hutt et la cantina de Mos Eisley faisaient face à la Stargate et son équipe d'exploration interplanétaire. Des éléments de Doctor Who côtoyaient l'armure de Robocop, un Alien, des Ghostbusters ainsi qu'une zone de Walking Dead truffée de zombies. Legos en tous genres et costumes de Star Wars complétaient cet ensemble haut en couleur, à côté d'une arène de Quiddicth moldu et de combat médiévaux à l'épée ! De quoi voir et de quoi faire pour tous les goûts !
Quelques stands japonais étaient présents, surtout orientés vers des objets traditionnels. Beaucoup de points alimentations s'étaient regroupés le long de quelques allées, avec de tout mais à des prix assez élevés, ce qui est tout de même logique dans un tel salon (enfin une boîte de mochi est quand même montée jusqu'à 7¤ contre 1,20¤ dans un magasin asiatique). Dommage que les stands ''de base'' aient été aussi peu variés (beaucoup de One Piece entre autres) et avec une qualité aussi minable pour des prix aussi élevés qui ont à peine baissés dimanche, cela aura certainement beaucoup freiné les acheteurs !
A noter le petit gag du stand de produits de la Mer Morte totalement hors-sujet, qui n'avait rien compris à la choucroute et a fermé dès les premiers jours...
Le cosplay était là aussi bien sûr ! Cette fois-ci, nettement moins de monde en cosplay libre dans les allées. Cela permet une meilleure circulation de la foule mais enlève un peu d'ambiance, ce qui est fortement dommage. Les concours sont toujours aussi mal présentés, avec seulement « vous êtes là JE ? » et « faites du bruit » qui sort de la bouche du présentateur. Et je ne parlerais même pas de la version anglaise pour l'ECG (oui logiquement, ce devait être de l'anglais ces sons bizarres...). Bref c'est dommage car ça donne seulement envie de sortir de la salle pour voir autre chose, ce que nous avons fait d'ailleurs...
Assez déçue également par le World Cosplay Summit. Normalement les costumes sont à tomber et là... c'est la qualité qui est tombée : perte de morceaux de cosplays, décors qui s'effondrent, prestations qui semblent répétées à la dernière minute. Le manque de préparation était clair pour la plupart des participants et c'est vraiment dommage, surtout quand on a en tête le niveau formidable des années passées. D'accord on rigole parfois tellement c'est ridicule, mais pour un concours de ce niveau, ce n'est pas le but recherché. Victoire méritée en tout cas pour le groupe Madoka dont la prestation formait une vraie petite histoire très bien menée !
Les décors de films Comic Con étaient au rendez-vous. Jabba le Hutt et la cantina de Mos Eisley faisaient face à la Stargate et son équipe d'exploration interplanétaire. Des éléments de Doctor Who côtoyaient l'armure de Robocop, un Alien, des Ghostbusters ainsi qu'une zone de Walking Dead truffée de zombies. Legos en tous genres et costumes de Star Wars complétaient cet ensemble haut en couleur, à côté d'une arène de Quiddicth moldu et de combat médiévaux à l'épée ! De quoi voir et de quoi faire pour tous les goûts !
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A côté de cela, Japan Expo comme Comic Con disposait de nombreux évènements, activités, concerts, rencontres et dédicaces !
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